Journée annuelle

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Journée annuelle des Chrétiens de gauche romands

Samedi 4 février 2023 à Yverdon-les-Bains

Pour quel pacifisme se battre ?

Il n’est pas facile d’être pacifiste en temps de guerre ! Il faudrait plutôt dire qu’il n’est jamais facile d’être pacifiste puisque, de mémoire d’homme, il y a toujours eu une guerre au moins quelque part sur notre planète.

La guerre en Ukraine frappe nos esprits et monopolise une part importante des médias. Elle n’est pourtant qu’une nouvelle variante du conflit USA – URSS/Russie, qui n’a pas toujours et partout été une guerre froide. On nous a dit que c’est parce Kiev nous est géographiquement proche, mais on a connu plus proche récemment dans les Balkans. Est-ce lié au fait qu’elle nous annonce que d’autres points chauds de la planète peuvent dégénérer (Chine – Taïwan, Corées) et prendre une dimension catastrophique (voire nucléaire) pire que ce dont nous avons eu l’habitude au Moyen Orient ou en Afrique. La guerre en Ukraine a en tout cas chez nous un impact économique inédit ; serait-ce pour cela qu’elle nous touche autant ?

En tous les cas, les fabricants, vendeurs et trafiquants d’armes peuvent se frotter les mains et les budgets de «défense» reprendre de la vigueur. Les pacifistes doivent-ils pour autant faire profil bas ?

Les Chrétiens de gauche romands sont les héritiers de la Fédération romande des socialistes chrétiens et ont toujours défendu la non-violence et le pacifisme, même au plus fort des deux guerres mondiales. Nous nous posons donc la question, non pas de l’opportunité du pacifisme, mais de la forme qu’il doit prendre en 2023. Comment faire la guerre à la guerre ?

Nous consacrerons à ce thème notre journée du 4 février prochain. En matinée, nous aurons l’occasion de réfléchir au thème de la paix et de la non-violence en compagnie de représentants de mouvements pacifistes : Centre pour l’action non-violente (CENAC) de Lausanne, Mouvement international de la réconciliation (MIR), Sant’Egidio Suisse.

L’après-midi sera consacré à un exposé du conseiller national Pierre-Alain Fridez, membre de la commission de la Politique de sécurité : la Suisse au service de la paix dans le monde ? Puis à une table ronde avec les orateurs de la journée.

La journée est ouverte à toute personne intéressée et aura lieu, de 10h00 à 16h00 au Tempo (Maison des Associations), quai de la Thièle 3, à Yverdon-les-Bains.

Le comité des CGR

 

 

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samedi 25 janvier 2020 à Yverdon-les-Bains (10h00-16h00)

Le Tempo. Quai de la Thièle 3

La gauche face au populisme

Les riches sont toujours plus riches, les pauvres toujours plus pauvres, la classe moyenne se plaint d’un pouvoir d’achat en berne et éprouve de légitimes craintes au sujet des coûts de la santé, du rendement de ses économies et du montant de sa pension de retraite. Les temps sont durs pour la majorité des salariés et des retraités.

Or la gauche, qui prône une juste répartition des richesses et qui devrait donc représenter les victimes de cette situation et notamment les plus défavorisés, peine à obtenir leur confiance.

Ceux qui ne bénéficient pas des bienfaits du système économique, lorsqu’ils ne s’abstiennent pas, offrent parfois leurs suffrages à de soi-disant «ni gauche, ni droite» (Macron), ou se reconnaissent, au moins provisoirement, dans des mouvements définis plus par la colère que par des propositions de solutions («Gilets jaunes», «Indignés», «Cinq étoiles» en Italie).

La jeunesse, dont l’avenir s’annonce plein de nuages, se mobilise avec raison (mais pas unanimement) pour défendre le climat et contribue, en Suisse notamment, au succès des Verts dont, il est vrai, beaucoup partagent largement les idées de la gauche.

Mais ceux qui bénéficient, électoralement, de la situation économique sont les populistes et les nationalistes, notamment ceux de droite et d’extrême droite. Le Rassemblement national se dit «premier parti ouvrier de France». Il a probablement raison : 40% de ses électeurs sont des ouvriers ! Marine Le Pen soutient les grévistes actuels plus énergiquement que le Parti socialiste en déliquescence, avec une «gauche de la gauche» trop divisée pour lui contester cette prééminence.

En Suisse, la gauche est constituée d’une petite extrême gauche (très divisée elle aussi), d’un PS qui perd des sièges et de Verts qui lui en prennent. Si la droite dure a perdu quelques plumes cet automne, elle reste aux commandes et poursuivra sa politique antisociale.

Nous ne pouvons pas nous satisfaire de cette situation. Laissera-t-on l’Europe tomber aux mains d’une paradoxale «Internationale des nationalistes» ?

Les Chrétiens de gauche romands proposent d’y réfléchir le 25 janvier prochain. Ils ont invité le professeur Oscar Mazzoleni (Université de Lausanne) qui traitera de la montée des populismes en Europe, le conseiller national socialiste Samuel Bendahan qui parlera du rôle de la paupérisation dans le vote populiste, et l’ancien conseiller national socialiste Jean-Claude Rennwald qui lancera la discussion sur la réponse de la gauche.

Cette journée est ouverte à toute personne intéressée.

Le comité des Chrétiens de gauche romands

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